La jacinthe d’eau est une plante invasive qui colonise les eaux du lac Nokoué, au Sud du Bénin. Elle nuit à la biodiversité et empêche la circulation lacustre et le développement de certaines activités économiques, comme la pêche. Pour réduire sa prolifération et offrir de l’engrais organique aux agriculteur∙rice∙s de la zone, le Centre d’actions pour l’environnement et le développement durable (Aced) a mis au point, avec des maraîchers de la commune riveraine de Sô-Ava, une solution pour le compostage de cette plante. Ce compost s’est avéré très efficace et son usage, associé à la promotion d’autres techniques et pratiques agroécologiques, a permis de développer une production maraîchère saine et de qualité. Depuis trois ans, Aced et le Gret testent des circuits de vente pour assurer des débouchés commerciaux à ces produits.
En 2021, dans le cadre de la mise en œuvre des activités du projet “Renforcer les capacités de Conseil en Gouvernance foncière en Afrique”, le pôle d’Excellence NELGA a lancé un concours des meilleures thèses de Doctorat et mémoire de Master sur la question foncière en Afrique centrale.
Des groupes de personnes associés à des entreprises privées locales ont réussi à obtenir des titres fonciers sur 312 hectares de terrains à Laniera, district d’Ambohidratrimo, exploités par l’Union Laniera Mamokatra - Secteur XII.
L’Autorité nationale des pêches et de l’aquaculture (NaFAA) du Liberia s’apprête à lancer en collaboration avec la Banque mondiale, un diplôme en sciences halieutiques en 2023. La formation se déroulera à l’Université du Liberia.
De plus en plus de communautés côtières vont devoir s’adapter à la hausse du niveau de la mer, notamment pour empêcher les propriétés de s’effondrer. Le récent effondrement d’un immeuble à Miami en est un parfait exemple.
Le secteur africain de la pêche pourrait bénéficier considérablement d'infrastructures et de services d'appui appropriés, qui font généralement défaut. Actuellement, le secteur fait face aux défis de la fragilité des chaînes de valeur et de la commercialisation, à la faiblesse des institutions de gestion et à de graves problèmes liés à la gouvernance des ressources halieutiques.
L’exploitation abusive des minerais à Kolaboui devient une menace pour les cours d’eau mais aussi pour les bas-fonds exploitables. Les cours d’eaux sont coupés et les champs cultivés deviennent progressivement secs. Cette situation devient une inquiétude pour bon nombre d’agriculteurs.
Les trafiquants de « Kartika » se procurent de vastes terres agricoles, installent sans autorisation des forages et surexploitent les rivières et les sources d’eau du Royaume. Face à l’ampleur de la situation, les ONG du nord du Maroc tirent la sonnette d’alarme.
Date: 15/06/2020
Source: APS