Armenia is a landlocked country in the South Caucasus. After gaining independence from the former Soviet Union, a very difficult socio- economic situation developed in Armenia, with a current high level of poverty. Land privatization has led to excessive land fragmentation and a small average farm size. Most of the country (87 percent) is mountainous with a vertical zonation of diverse landscapes. Armenia is hotspot of biodiversity in the region, facing human and climate induced land degradation. Water erosion affects most forest and croplands across the country.

Land tenure is a particularly important issue in Asia, a region most prone to natural disasters and the impacts of climate change and home to the world’s poorest who depend on land for their lives and livelihoods. However, public understanding of the links between climate change, disasters, and land tenure is still very limited, even among civil society organizations.

Limiting global warming to the 2°C target that countries have committed to in the 2015 Paris Agreement, and reaching the Sustainable Development Goals by 2030, will require large-scale expansion of climate-resilient approaches in agriculture and food systems. In order to achieve the scale of change required, coordinated action is needed from global to local levels, from research to policy and investment, and across private, public, and civil society sectors.

Land and ecosystems lay the foundation of the economy and the wellbeing of society. 85 percent of the world’s 1.2 billion young people live in regions that are directly dependent on land and natural resources for sustenance. Land degradation is a youth issue that threatens current and future generations’ quality of life. Young people are increasingly becoming eco-anxious about threats to their environment and the possible impacts there may be for future generation.

This one-pager provides details on the LAND-at-scale project in Mali. This project is implemented by SNV, KIT, Université des Sciences Juridiques et Politiques de Bamako and Coordination Nationale des Organisations Paysannes, and financed by the Ministry of Foreign Affairs via the Netherlands Enterprise & Development Agency. 

La pandémie de covid-19 a fait apparaître au grand jour la vulnérabilité des systèmes agroalimentaires face aux chocs et aux situations de stress et entraîné une augmentation de l’insécurité alimentaire et de la malnutrition au niveau mondial. Des mesures doivent être prises pour rendre les systèmes agroalimentaires plus résilients, plus efficients, plus durables et plus inclusifs. 

Repenser nos alimentations, c’est repenser nos sociétés. Car partager un repas et même faire ses courses sont des moyens de se relier aux autres. La façon de nous nourrir construit notre santé. Nos modes de production agricole façonnent nos paysages et définissent notre place dans la nature. Gérer des ressources pour produire, pour transformer et pour distribuer les aliments fonde nos économies. Nos registres du comestible, nos cuisines et nos manières de table racontent nos cultures.

Pathway #1: Food insecurity and competition over access and use of natural resources

(I) The effects of the climate crisis can impact food, land, and water systems in various ways, reducing their production and productivity, increasing food insecurity and potentially lead to conflict because of the reduced opportunity costs of participating in violent acts.

 La sixième édition du Rapport 2021 sur l'écart entre les besoins et les perspectives en matière d'adaptation aux changements climatiques : la tempête qui se lève, examine comment le monde s'adapte à ces impacts croissants.

Le rapport constate qu'il est urgent d'augmenter le financement de l'adaptation aux changements climatiques. Les coûts d'adaptation estimés dans les pays en développement sont cinq à dix fois supérieurs aux flux actuels de financement public de l'adaptation, et le fossé du financement de l'adaptation se creuse.

Points à retenir

La réponse à la demande accrue de produits alimentaires accentue la pression exercée au niveau mondial sur les ressources que sont les eaux, les terres et les sols. L’agriculture a un rôle à jouer dans l’allégement de cette pression et dans la concrétisation des objectifs en matière de climat et de développement. Des pratiques agricoles durables peuvent déboucher sur des améliorations directes de l’état des terres, des sols et de l’eau, mais elles peuvent aussi être bénéfiques aux écosystèmes et réduire les émissions issues de la terre.