Declaration on land issues and challenges in Africa
Declaration on land issues and challenges in Africa
Assembly/AU/Decl.1(XIII) Rev.1
Declaration on land issues and challenges in Africa
Assembly/AU/Decl.1(XIII) Rev.1
Contrairement à l'idée reçue que la crise alimentaire de 2007-2008 et la crise économique mondiale n'auraient rien à voir l'une avec l'autre, cet article montre que les deux événements sont dus à des causes macroéconomiques comparables. Il montre en outre que les conséquences de ces deux phénomènes ont des effets cumulatifs qui atteignent les personnes les plus pauvres parmi les pauvres dont la plupart vivent dans les zones rurales des pays en développement ?
La crise financière initiale s'est développée pour devenir, en 2008, une crise économique mondiale. Cette crise non seulement exacerbe le problème aigu de la famine en réduisant toujours davantage le pouvoir d'achat des populations pauvres, mais encore menace de limiter pendant des années les possibilités de combattre la famine à long terme au moyen d'investissements et d'innovations.
L'Atelier « Crise alimentaire et potentiel de développement du secteur des produits agricoles et de base dans les États fragiles » était l'une des quatre manifestations qui se sont penchées sur les thèmes de la première édition du Rapport européen sur le développement 2009. Cet atelier s'est consacré aux problèmes de la sécurité alimentaire et du développement agricole dans les États africains fragiles.
Les pays en développement d'Asie doivent faire face à l'année la plus difficile depuis la crise financière de 1997/1998. L'effondrement du commerce mondial suite à la crise économique globale a été lourd de conséquences pour les industries manufacturières de la région. Les ménages ruraux ont particulièrement souffert de ce recul en raison de la perte d'emplois hors du secteur agricole. Une action rapide des décideurs politiques de la région est nécessaire afin d'atténuer les conséquences de la crise, les incitations fiscales pouvant jouer un rôle important à cet égard.
Le groupe des pays en développement est celui qui est le plus gravement menacé par les conséquences hydrologiques du changement climatique mondial. L'eau, qui constitue une ressource essentielle pour le développement, est affectée par le changement climatique de multiples manières complexes : variations de température et élévation du niveau des mers, changements intervenant au niveau de l'abondance des précipitations et fonte des champs de neige et des glaciers.
Le développement de la production animale aide les pays en développement à remplir l'ensemble des huit objectifs du Millénaire pour le développement des Nations unies. Cependant, si elles sont mal gérées, les exploitations d'élevage peuvent porter atteinte à l'environnement, contribuer à la propagation de maladies infectieuses et mettre en danger la santé publique par le biais d'aliments dangereux.
L?élevage et la commercialisation d?animaux utiles permettent d?assurer quotidiennement la subsistance de plus d?un milliard de personnes. Mais aussi essentiels qu?ils soient pour l?alimentation, le revenu et la santé, ces systèmes d?élevage tropicaux peuvent autant altérer qu?améliorer les ressources en terres et en eau et génèrent, comme tous les systèmes d?élevage partout dans le monde, des gaz à effet de serre, qui contribuent au réchauffement climatique.
La république du Ghana, l'une des démocraties africaines les plus stables, fait face à une surexploitation continue de ses ressources naturelles résultant en d'énormes pertes financières et de graves implications pour les populations pauvres. Le projet « Forêts tropicales et adaptation au changement climatique », financé par l'Union européenne, tente d'identifier des instruments appropriés pour le financement de mesures d'adaptation au changement climatique. L'un de ces outils de financement pourrait être le paiement pour services environnementaux ou PSE.
« Pas de bétail - pas de Masaï - pas de vaccins contre la fièvre de la Côte orientale - pas de bétail. » ? C'était là le message fort lancé avec GALVmed lors de la rencontre de l'ONG basée à Edinburgh avec plus de vingt-cinq pasteurs Masaï et petits éleveurs de bétail laitier à Arusha, dans le nord de la Tanzanie, au printemps 2009. L'article décrit l'énorme importance que les vaccins revêtent pour les petits éleveurs de bétail et les difficultés qui sont liées à la mise au point et à la fourniture de ces vaccins.
Este documento ofrece un mapa de los actores institucionales multilaterales (BID, FIDA, BM, FAO, IICA, CEPAL, USAID, GTZ Y UE) de carácter financiero o técnico, que trabajan en la temática de desarrollo rural sudamericano.
As the world continues to experience a severe food crisis, with over one billion people going hungry, land grabbing – the purchase or lease of land by wealthy, food-insecure nations and private investors from mostly poor, developing nations in order to produce food crops for export – is gaining momentum. Some governments and international agencies believe that the in? ux of money and technology can turn land grabbing into a win–win situation for all involved. But is this really the case?