This report examines the role of European Union (EU) member States, both collectively and individually, in the current reported wave of foreign land investment in Africa that has led to the current use of the term ‘land grabbing’.It discusses whether this role is consistent with the EU’s commitment to advance agriculture in Africa in order to help achieve the Millennium Development Goals and member states’ obligations under international human rights law.

In the last ten years or so, the global interest in, and concerns about, the issue of how the world shall provide a growing population with sufficient food, bioenergy and wood raw material has attracted increasing attention. Will land and water resources be enough, how shall they be best managed to achieve increased production and productivity without causing far-reaching negative environmental and social side-effects, will climate change make solutions more difficult, will there be financial means and know-how available to address all challenges and opportunities?

Up to 2.5 billion people depend on indigenous and community lands, which make up over 50 percent of the land on the planet; they legally own just one-fifth. The remaining land remains unprotected and vulnerable to land grabs from more powerful entities like governments and corporations. There is growing evidence of the vital role played by full legal ownership of land by indigenous peoples and local communities in preserving cultural diversity and in combating poverty and hunger, political instability and climate change.

2014 was a year in which many citizens around the world lost hope and trust in conventional leaders’ abilities to solve national and global challenges.

Cette étude est le troisième volet d’une série consacrée à l’accès à la terre, thématique centrale du programme 2017-2021 d’Entraide et Fraternité. Les deux premiers volets ont été consacrés en 2018, à Madagascar et en 2019, aux Philippines.

Trois sociétés multinationales – Agilis Partners, Kiryandongo Sugar Limited and Great Season SMC Limited – sont impliquées dans des accaparements de terres, des expulsions violentes de personnes hors de leurs habitations et à l'origine d'innombrables humiliations et du désespoir de milliers de familles demeurant dans le district de Kiryandongo, en Ouganda.

On assiste actuellement au développement d’un ensemble de lois et de pratiques qui excluent les pêcheurs artisanaux et leurs communautés du contrôle des ressources halieutiques. Lorsque l’on évoque les phénomènes d’accaparements, un intérêt très faible et secondaire est généralement accordé à la question des ressources halieutiques. Pourtant, la pêche et l’aquaculture sont à la base de la survie économique de millions de personnes1. De même, l’activité halieutique est essentielle pour garantir la sécurité alimentaire mondiale.

Au même titre que les autres ressources, les territoires forestiers sont accaparés. Des entreprises, souvent avec l'appui des États, dégradent ces territoires et dépossèdent les populations locales de leurs lieux de vie ou des ressources dont dépendent leurs conditions de vie. Ces territoires sont mis en péril par des concessions d'exploitation des forêts et des ressources minières, des projets hydroélectriques ou d’infrastructures de transport, des concessions touristiques, de chasse, par l'expansion des surfaces agricoles ou encore l'exploitation illégale de bois.

Des fonds de développement européens et américains financent actuellement l’entreprise d’huile de palme Feronia Inc en dépit des conflits portant sur les terres et les conditions de travail sur ses plantations en République démocratique du Congo (RDC).

Ce rapport présente la synthèse des conclusions du projet1 sur les Pressions commerciales sur les terres dans le monde, coordonné par le Secrétariat de la Coalition internationale pour l’accès à la terre (ILC) avec le soutien d’un de ses membres, le CIRAD (Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement), et la collaboration de plus de quarante organisations locales et de la société civile, universitaires et instituts de recherche du monde entier.

Abstract

This report for GTZ, published in May 2008,  analyses the potentials and risks of Jatropha plantation. With regards to land issues, it highlights the risks of land degradation and intransparent investment and lists a number of large-scale investors. The study also gives an outlook on the potential for small-scale farmers.

Published by www.jatropha.de