Les chocs climatiques exercent une pression sur les terres agricoles qui se manifeste par la surexploitation des terres et l’utilisation abusive d’intrants, ce qui accélère et aggrave leur dégradation (lessivage continu, érosion, transport des particules). La sécurisation foncière des communautés contribue au développement et à la promotion de l’agroécologie paysanne. Elle encourage l’investissement dans les terres agricoles (par des plantations d’arbres à des fins agroécologiques).

Le deuxième rapport annuel du Groupe de bailleurs de fonds pour la tenure forestière (FTFG) analyse les progrès réalisés par rapport à l'engagement quinquennal de 1,7 milliard de dollars en faveur des droits fonciers et de la garde forestière des peuples autochtones et des communautés locales (PA et CL) dans les pays forestiers tropicaux, annoncé lors de la COP26.