L’État brésilien et des entreprises agro-industrielles condamnés pour écocide et génocide dans le Cerrado
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l’État brésilien pour crime d’écocide, ce qui implique inévitablement le génocide de sa population ; le gouvernement actuel de Jair Bolsonaro pour crimes économiques et écologiques aggravés par maintes mesures d’ajustement structurel et de démantèlement de politiques et de lois représentant des acquis historiques en matière de droits.
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des États étrangers et organismes. Parmi les États étrangers, le Japon a été condamné pour contribution à la mise en œuvre de la Révolution verte de la dictature militaro-entrepreneuriale dans les années 70, par l’intermédiaire de l’Agence japonaise de coopération internationale (JICA). Et la Chine et les pays de l’Union européenne pour achat massif de matières premières issues de la monoculture dans le Cerrado. Il a notamment été mentionné que l’Accord de libre-échange entre l’Union européenne et le Mercosur risque d’accélérer l’écocide-génocide. Parmi les institutions internationales, le Fonds monétaire international (FMI), l’Organisation mondiale du commerce (OMC), et notamment la Banque mondiale, ont été condamnés pour promotion et légitimation de réformes néolibérales qui amplifient l’écocide-génocide du Cerrado et de ses peuples.
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des entreprises transnationales et fonds d’investissement/pension dont les activités économiques portent atteinte aux droits fondamentaux qui participent à l’écocide-génocide dans le Cerrado et en bénéficient, comme Amaggi & Louis Dreyfus Commodities, Bayer-Monsanto, Bunge, Cargill, ChemChina/Syngenta, China Communications Construction Company, China Molybdenum Company, Condomínio Cachoeira Estrondo, Horita Empreendimentos Agrícolas, Mitsui & Co, Mosaic Fertilizantes, SLC Agrícola, Sul Americana de Metais S.A., Suzano Papel e Celulose, TUP Porto São Luís, Vale S.A., et les fonds d’investissement TIAA-CREF, Harvard et Valiance Capital.
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