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Community Organizations International Union for Conservation of Nature
International Union for Conservation of Nature
International Union for Conservation of Nature
Acronym
IUCN
Civil Society Organization

Location


IUCN is a membership Union uniquely composed of both government and civil society organisations. It provides public, private and non-governmental organisations with the knowledge and tools that enable human progress, economic development and nature conservation to take place together.


Created in 1948, IUCN is now the world’s largest and most diverse environmental network, harnessing the knowledge, resources and reach of more than 1,300 Member organisations and some 16,000 experts. It is a leading provider of conservation data, assessments and analysis. Its broad membership enables IUCN to fill the role of incubator and trusted repository of best practices, tools and international standards.


IUCN provides a neutral space in which diverse stakeholders including governments, NGOs, scientists, businesses, local communities, indigenous peoples organisations and others can work together to forge and implement solutions to environmental challenges and achieve sustainable development.


Working with many partners and supporters, IUCN implements a large and diverse portfolio of conservation projects worldwide. Combining the latest science with the traditional knowledge of local communities, these projects work to reverse habitat loss, restore ecosystems and improve people’s well-being.

Members:

Jackeline Siles

Resources

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Lobbying et Plaidoyer pour la sécurisation foncière des petits producteurs

General

La Fédération des organisations des producteurs agricoles du Congo au Sud-Kivu « FOPAC SUD-KIVU » est une organisation provinciale créée le 14 février 2006 pour une durée indéterminée. Son siège social est établi à Bukavu, avenue Mbaki au N°19A, dans la commune d’Ibanda. C’est une organisation Paysanne fédérative de 4ème niveau enregistrée au ministère de la justice sous le N° F.92/10848. La FOPAC SK a comme vision : « valoriser les paysans producteurs agricoles et améliorer les conditions de tous les paysans en milieu rural et en particulier celles de la femme ». Sa mission est : « promouvoir les paysans producteurs agricoles par la mise en relation, la représentation, les lobbyings, les plaidoyers, les échanges et les rapprochements de façon à contribuer à la réalisation de toute action de développement sur demande de ses membres et à travers ses membres. Son objet social est : - La constitution d’un cadre de concertation et de renforcement des capacités des OPA membres ; - La protection des OPA membres - La mise en place des stratégies de sécurité foncière et celle de l’agriculture durable ; - La facilitation du développement économique de ses membres Le Plan d’action 2012 a surtout une attention spécifique sur: Influencer les décisions prises à tous les niveaux en faveur des producteurs agricoles membres des OP avec comme activités: 1. Vulgariser la loi portant principes fondamentaux de l’agriculture (code agricole) 2. Faire un état de lieu sur la problématique foncière (dans 3 territoires) 3. Sensibiliser les membres des OP sur l’acquisition des titres fonciers 4. Organiser 2 tables rondes entre : Agriculteurs, éleveurs, autorités sur l’agriculture (espaces protégés, résolutions de conflits entre éleveurs et agriculteurs, protection des boisements, réaffectation du sol impropres à la culture) 5. Faire le monitoring pour identifier les taxes et barrières illégales à travers 5 territoires (Walungu, Kabare, Kalehe, Uvira, Fizi), 6. Faire un atelier d’actualisation et de validation du document sur les taxes et barrières illégales devant nous servir pour plaidoyer envers les autorités tant locales, provinciales que nationales est produit, Objectif global Le Plan d’action 2012 attend contribuer à atteindre l’objectif global suivant : Contribuer à l’amélioration des conditions de vie des paysans producteurs agricoles en valorisants leur statut dans les fonctions économiques Objectifs spécifiques - Renforcer la capacité organisationnelle et opérationnelle de la FOPAC SK - Influencer les décisions prises à tous les niveaux tant local, provincial et national en faveur des producteurs agricoles membres des OP - Renforcer la visibilité de la FOPAC SK Les activités opérationnelles OS N°1 : Renforcer la capacité organisationnelle et opérationnelle de la FOPAC SK Résultats 1 : La capacité organisationnelle et opérationnelle de la FOPAC SK est renforcée, le nombre des OP membres double passant du 10 au 20 Activités 1. Continuer l’identification des nouvelles OP qui seront membres de la FOPAC SK 2. Former les dirigeants des nouvelles OP identifiées sur les aspects organisationnels et structurels 3. Renforcer la capacité organisationnelle des nouvelles OPA OS N°2 : Influencer les décisions prises à tous les niveaux en faveur des producteurs agricoles membres des OP Résultat 2 : La FOPAC SK influence les décisions à tous les niveaux en faveur des producteurs agricoles membres des OPA Activités : 1. Vulgariser la loi portant principes fondamentaux de l’agriculture (code agricole) 2. Faire un état de lieu sur la problématique foncière (dans 3 territoires) 3. Sensibiliser les membres des OP sur l’acquisition des titres fonciers 4. Organiser 2 tables rondes entre : Agriculteurs, éleveurs, autorités sur l’agriculture (espaces protégés, résolutions de conflits entre éleveurs et agriculteurs, protection des boisements, réaffectation du sol impropres à la culture) 5. Faire le monitoring pour identifier les taxes et barrières illégales à travers 5 territoires (Walungu, Kabare, Kalehe, Uvira, Fizi), 6. Faire un atelier d’actualisation et de validation du document sur les taxes et barrières illégales devant nous servir pour plaidoyer envers les autorités tant locales, provinciales que nationales est produit, OS N°3 : Renforcer la visibilité de la FOPAC SK Résultat 3 : La FOPAC SK renforce la visibilité au niveau de la province 1. Produire et diffuser des émissions radio télévisées 2. Participer aux journées internationales affectées à l’agriculture (15/10 etc…..) 3. Produire les objets de visibilités (T-shirts, Képi, gilets et autres) 2.4. Les résultats attendus A la fin de l’année 2012, les résultats suivants sont attendus : 1. La capacité organisationnelle et opérationnelle de la FOPAC SK est renforcée Le nombre des OP membres double passant du 10 au 20 75% des nouvelles OP améliorent leurs capacités administratives, financières et leur niveau organisationnel.  60 dirigeants de nouvelles OP suivent une formation sur l’organisation structurelle 2. La FOPAC SK mène un plaidoyer en faveur des producteurs agricoles membres des OPA  La loi portant principes fondamentaux de l’agriculture (code agricole) est vulgarisée  Un état de lieu sur la problématique foncière est fait  Les membres des OP sont sensibilisés sur l’acquisition des titres fonciers  Deux tables rondes entre agriculteurs éleveurs et autorités sur l’agriculture est organisées  Le monitoring pour identifier les taxes et barrière illégales est assuré  Un atelier d’actualisation et validation du document sur les taxes et barrières illégales est organisé 3. La FOPAC SK renforce la visibilité au niveau de la province Un feuillet trimestriel et des émissions radio télévisées sont produits  La FOPAC SK participe aux journées internationales affectées à l’agriculture  Les objets de visibilités (T-shirts, Képi, gilets et autres) sont produits IV. MISE EN ŒUVRE DU PLAN D’ACTION 2012 - 2013 3.1. Les moyens 3.1.1. Les moyens matériels Pour réaliser l’action 2012-2013, la FOPAC- SK dispose du mobilier et des matériels de bureau 3.1.2. Les moyens humains La FOPAC-SK a un personnel de 5 agents dont un Secrétaire Exécutif, Un Chargé de programme, un chargé de plaidoyer, un comptable, un secrétaire-caissière et réceptionniste-ménagiste. Les membres des organes de la FOPAC SK ainsi que les OP membres sont assez mobilisés à participer à toutes les étapes du plan d’action. 3.2. Les modalités d’exécution 3.2.1. Acteurs internes  En Assemblée générale ordinaire et extraordinaire, la FOPAC SK statuera sur les activités, le budget en rapport avec l’échéance du plan d’action 2012-2013.  Le conseil d’administration et le conseil de contrôle joueront leurs rôles définis dans les statuts.  Le plan d’action sera géré par le Secrétariat Exécutif suivant les statuts de la FOPAC SK. Un job description est repris dans le cahier de charges de chacun poste. 3.2.2. Acteurs extérieurs Le plan d’action 2012-2013 connaîtra une participation des acteurs externes suivants :  L’audit de la gestion sera assuré par une maison internationale accréditée par le bailleur de fonds.  Les consultants pour les études et ateliers de formation  Les visites des partenaires et amis de la FOPAC-SK Increase volume and quality of coffee through an effective compost programme, improved nurseries and improved processing of the coffee.

FOUNDATION FOR CIVIL SOCIETY 2018-2020

General

FSC is an independent Tanzanian non-profit organisation that provides grants and capacity building services to Tanzanian based civil society organisations. FCS was registered as a legal entity under the National NGO Act No 1666 in September 2002 and started its operation in January 2003. Since its inception, FCS has contributed immensely to the capacity strengthening of teh civil society sector in Tanzania. thereby ( in) directly enabling CSOs and citizens become key driving forces for positively influencing democratic governance in Tanzania and better quality of life for all. This is realised through provision of grants, facilitation of linkages, as well as enabling a culture of on-going learning within the civil society and Tanzania as a whole. FCS aspires to maintain its position as a leading financing mechanism for CSOs in Tanzania; and to effectively complement government and development partners efforts towards poverty reduction as set out in Tanzania's main development frameworks: Vision 2025 and the five year development plan 2016 - 2021.

Objectives

The Foundation for Civil Society ( FCS) Key Result Areas 1. GovernanceThe focus is on supporting social accountability, monitoring women's land rights, harmful traditional practices and conflict resolution. It is acknowledged that governance in the context of sustainable livelihoods means working across sectors and levels. This involved changing power relations, developing people capacioties ( resilience, assets base) as well as positively changing attitudes ( sense of vulnerability and powerlessness) There is also recognition between micro actions and macro conditions and their effects on people's livelihoods. In order to realise these results, FCS works with CSos at both local and national levels abd uses them as a vehicle to empower communities to address governance issues. The desired outcomes in this area are that: a) By 2020, Local government authorities ( LGAs) in areas that FCS works are delivering improved quality services. b) By 2020, decision making and democratic processes are better reflecting citizens rights especially those of marginalised groups, PWDs, minority and women. c) By 2020, communities have strong capacities and institutions for dialogue and conflict management. 2.Livelihoods and MarketFCS recognises that there is a strong linkage between governance and livelihoods. FCS approach to livelihoods is based on adressing systems, policies and structures that constrain the target groups from realising their potentials. the livelihood programme is modelled on three pathways: a) First targetting youth and women economic empowerment b) Targetting smallholder farmers access to extension services and productive assets and 3) tragetting communities resilience to climate change and management of natural resourxes. FCS has also pointed out that more and more citizens are organising through economic self-help groups including Village Community banks ( VICOBAa), saving and Credit societies as opposed to traditional NGOs. FCS intends to tap into these already organised spaces while also linking economic empowerment to social empowerment  while promoting the participation of the marginalised groups in decision making. The livelihood desired outcomes are: a) Ensuring tha youth and women entrepreneurs have secured greater access to market and livelihood assets and resources b) Enabling smallhoder farmers to access adequate extension services and improved security of tenure and; c) Ensuring that communities have increased capacity for climate resilience and are more accountable on natural resource management. 3. Capacity DevelopmentFCS collaboates with smaller and grassroots based CSOs who work directly with communities to identify innovative solutions to address poverty. The goal of this component is to contribute to the enhancement of civil society and other development actors to effectively and sustainably attain their mandates. The intention is that by 2020, FCS envisions that the CSOs they work with are strong, coordinated and able to serve their constituents effectively and efficiently. THese smaller CSOs lack proper systems especially those for financial managment, human resources management, monitioring and evaluation as well as suitable checks and balances, capacity to document and disseminate results and also low innovation in adressing societal challenges in a rapidly changing environment. FCS has modelled its programme to ensure that the supported organisations are constantly capacitated to deliver efficiently and document results in such a way that the evidence of the successes is acheived and shared widely. FCS recognises that the capacity of Civil society is central to giving voice to citizens and putting them at the center of good governance, livelihood and economic development processes that form part of their day to day living. FCS supports performance improvement, institutional growth and organisation as well as capacity to relate and link with others.FCS regards Capacity development as a means towards strengthening and enabling key actors - civil society, policy makers and private sector- to actively engage in dialogue about developing appropriate policy responses. It also focuses on identifying key knowledge gaps, equipping decsiion makers with the necessary tools, frameworks ands skill sets to effectively tacle development challenges at individual, institutional and societal levels. 4) Institutional DevelopmentThe overall objective of this area of work is to enable FCS to become a dynamic, efficient and sustainable entity that is effectively relaising its mandate. FCS intends to focus on improving its monitoring, evaluation and learning approach with a focus on constant reflection in order to maintain relevance and competitiveness. It also works on improving internal policies, systems and structures to safeguard its integrity and capacity to safeguard resources entrusted to it. This includes recruitment and retention of high quality staff as well as enhancing and diversifying the resource base so as to improve the sustainability of operations. The key objectives to ensure this are: a) FCS is delivering high quality services efficiently and effectively b) FCS has a diverse and stable portfolio of financing sources c) The internal policy environment (systems, structures, procedures) are upto date, comprehensive, relevant and fully operationalised. FCS is also complying with statutory and donor requirements.In summary, FCS main role is facilitation rather than direct implementation. Facilitation in this regard includes, but is not limited to funding/grant-making, coordination, mobilisation/leveraging resources, enabling of learning and reflections, linking and brokering partnerships and knowledge management. FCS ultimate target group is Tanzanian citizens with particular attention given to the poor, women, people with disabilities, youth. SWEDen'S PREVIOUS EXPERIenCE WITH THE FOUNDATION FOR CIVIL SOCIETY Sweden has previously supported the Foundation for Civil society in 2011. Sweden performed an Efficiency Audit and gave recommendations to the Institution and contributed MSEK 30 to the FCS Strategy 2009 - 2013. In this assessment, it has been noted that the recommendations of the Efficiency audit conducted 7 years ago have been taken onboard and the organisation has grown. It has been documented in the Report of Review of the FCS Strategy 2009 - 2013 that during this period FCS has grown and developed to become a respected institution by Stae and Non Stae Actors alike. Furthermore it has been noted that the work of FCS, its products and services are regarged as very relevant to stakeholders. FCS has also exhibited significant levels of adaptability and tenacity, and has significantly grown in terms of programmes, number of supported partners and financial resource base.  In 2018, Sweden has decided to assess possible support of MSEK 55 to the Foundation for Civil society due to a number of reasons. The FCS contribution will contribute towards the Embassy Open Space Project whose main focus is addressing the issue of shrinking democratic space, since this organisation has the capacity to make linkages with organisation working on matters of  civic space. Another reason is that Sweden’s direct support via contributions to civil society has been solid and persistent over a long period of time. Sweden has a well balanced portfolio in this regard and should remain with the support also under present circumstances. However,new approaches and innovative actions are necessary and this may include providing additional funds to ongoing contributions to address issues that are of critical importance in the civil societies. This proposed support to the Foundation for Civil Society will contribute towards this goal. This support will also enable Sweden to have local outreach as this is the only organisation that can reach community based organisations as well as vulnerable groups that Sweden does not have the capacity to reach within its current contributions. There is no other organisation with the capacity to forward funds to community based organisations in the country. 

Conservation of Tiger, Rhino, Elephants and Hoolock Gibbons in Kaziranga-Karbi Anglong Landscape using PNRM Ap

General

It is the necessary to ensure alternative mode of protection to habitats in Karbi Anglong Hills and the biological corridors to Kaziranga National Park as the indigenous Karbi tribe is not in favor of the creation of a Wildlife Sanctuary fearing loss of land rights and natural resources. Project will engage communities using traditional knowledge and appropriate technology to design sustainable and adaptive Participatory Natural Resources Management (PNRM) models for habitat conservation and reduce human disturbances. Beneficiaries will be trained for improved homestead agroforestry, sustainable harvest of Non Timber Forest Products (NTFP), value addition and marketing of products. Project objectives are: (1) Inventory and mapping of NTFP in the River Basin that are potential for sustainable management and creating a baseline; (2) Participatory perspective plan for Natural Resource Management; (3) Develop natural resource based sustainable livelihood and entrepreneurship models involving 100 households to initiate habitat protection and improved quality of life; (4) Document the process and system of best practices for communication with wider communities and stakeholders; and, (5) Create awareness among communities and stakeholders about ecosystems health, PNRM, livelihoods and entrepreneurships.

enABLING LONGTERM COLLABORATIVE CONS OF

General

South America's grasslands span approximately 1 million square kilometers across Argentina, Brazil, Paraguay and Uruguay. Habitat loss, fragmentation, improper use of agrochemicals, and unsustainable agricultural land management threaten the migratory grassland birds dependent on this ecosystem. BirdLife International, with its partners: Aves Argentinas, Aves Uruguay, Guyra Paraguay, and SAVE Brasil, have worked to conserve grassland birds and their habitats through proven, effective, and scalable conservation solutions. The Grassland Alliance will execute four key strategies to safeguard Southern Cone grasslands critical to the survival of Neotropical migrants and other species: 1. Planning - Develop and begin implementing a Grassland Alliance Bird Conservation Business Plan, in consultation with partners and stakeholders, that provides a road map for future conservation investments. 2. Monitoring - Strengthen and deploy a consistent monitoring and evaluation framework across the Southern Cone Grasslands Alliance network, to advance scientific understanding of the needs of grassland Neotropical migratory bird species, and improve effectiveness of grassland conservation measures. 3. Conserving - Improve management on over 765,000 acres of sustainably managed grasslands through continued work with ranchers to implement Best Management Practices, and bird-friendly beef certification. 4. Raising awareness - Enhance awareness of threats to grassland biodiversity, and possible conservation solutions through effective communication.

Promoting socio economic interests of Rwandan farmers in potato value chain

General

IMBARAGA est une organisation de type syndical qui a été créée en mars 1992 à l'initiative propre des Agriculteurs et des Eleveurs du Rwanda. Elle est aujourd’hui reconnue juridiquement en tant qu’organisation professionnelle agricole depuis septembre 2006 (Voir JO N°17bis du 01/09/2006). C’est une organisation faîtière d’envergure nationale, c’est-à-dire que son action s’étend sur toutes les provinces du pays. La Fédération Imbaraga a pour mission d’assurer la défense et la sauvegarde des intérêts socio-économiques des agriculteurs et éleveurs en général et de ses membres en particulier. Notre vocation première est d'assurer la représentation des membres auprès de la Société civile et des Pouvoirs publics. Fort de son expertise dans la prestation des services à la base en partenariat avec différents acteurs notamment, AGRITERRA, CIP et IFDC, Imbaraga offre des services de proximité en faveur des producteurs de pomme de terre et maïs en Province du Nord et de l’Ouest ainsi que pour le compte des agro-dealers accrédités pour la commercialisation des intrants agricoles de qualité. Imbaraga vient de poser des bases solides dans ce secteur. On note surtout : - La défense des droits des paysans via la participation active à l’élaboration et la vulgarisation de la Loi foncière ; - La défense des prix rémunérateurs de la pomme de terre et maïs en faveur des producteurs du District de Musanze,Burera en province du Nord; et Nyabihu et Rubavu en province de l’Ouest. - Les membres d’Imbaraga qui se spécialisent dans la production des semences de qualité commerciale (pomme de terre, blé, maïs…) ; - La mise en place des coopératives pour l’accès aux intrants et la commercialisation de la production ; - Le progrès d’accès aux services financiers via les banques et Institutions de micro- finance (IMF) locales ; - La décentralisation des activités de la fédération Imbaraga jusqu’au niveau de la base (Villages, Cellules, …) via la nouvelle structure basé sur les farmer groups. La Fédération Imbaraga est considérée comme un interlocuteur représentatif et légitime des agro-éleveurs par les pouvoirs publics et par les agro-éleveurs mêmes Ces fondations sont solides mais les mécanismes de pérennisation ne sont pas encore en place. Dans ce plan, nous allons de notre côté renforcer les services endogènes de mobilisation et d’animation de nos membres a la base, c à d dans les farmer groups et sections de base, pour qu’ils servent de relais et d’agents de vulgarisation bénévole dans leur milieu d’origine. Pour accélérer les activités de transfère des innovations nous allons renforcer ces équipes de mobilisation par des animateurs ponctuelles payés par taches bien spécifiée. A ce niveau, nous pensons aussi gérer le centre de formation de Musanze de manière efficiente pour que les ressources qu’il génère puissent couvrir les frais de fonctionnement du réseau Imbaraga. Via les cotisations des membres, nous allons aussi construire un autre bureau en province du Sud pour limiter les charges locatives qui continuent de grever nos maigres budgets. Enfin, nous envisageons de diversifier les sources de financement à travers la recherche de nouveaux bailleurs de fonds dans la zone Afrique et ailleurs. » Aujourd’hui après mûre réflexion, nous pensons que le renforcement des agro- dealers par une production des intrants organiques au niveau des farmer groups serait une source autonome de revenus et une expertise Imbaraga/Agriterra. « Pour avoir une vue d’ensemble sur les réalisations de la fédération Imbaraga dans le secteur agricole, et plus spécifiquement dans le développement des filières agricoles, une mission d’évaluation d’Agriterra est souhaitable en province du Nord et au niveau national pour nous aider à mieux analyser la situation actuelle et pour faire une réorientation de nos activités dans les jours à venir » Objectif Global 2012 Les droits socio-économiques et intérêts des agriculteurs et éleveurs rwandais sont défendues et sauvegardés (avec une attention spécifique dans la chaine de valeur pomme de terre) Objectifs spécifiques 1. Renforcement des synergies autour des champs écoles (système de connaissance) : augmentation de la production (pomme de terre et maïs) 2. Les capacités des agro dealers (collective : coopérative) sont renforcées et les services rendus aux bénéficiaires sont améliorés 3. Renforcement des capacités des groupes des fermiers et des coopératives dans la commercialisation (collective) des leurs productions (pomme de terre) 4. Les membres d’IMBARAGA connaissent et défendent leurs droits socioéconomiques à tous les niveaux Activités 1. Mettre en place d’un réseau d’organisation des champs écoles pour assurer la pérennité de la pratiques « champs écoles ; Former les membres des groupes de fermiers sur des nouvelle technologies (organique enrichie, l’utilisation rationnelle des produits des déchets de pyrèthre, les techniques de production et multiplication de semences de pomme de terre qualité (sélection négative et positive) ; Faciliter l’expérimentation des technologies et transférer ces technologies (transformation pomme de terre en chips p.ex.) par IMBARAGA auprès des coopératives. 2. Sensibiliser les membres de groupes de fermiers (COOPS) sur la mise en place des boutiques intrant au niveau des villages ; Former les agro dealers sur l’utilisation et le développement des marche d’intrants agricoles ; Faciliter les rencontre régulière entre les agro dealers, les distributeurs et les fermiers pour une synergie étroite ; 3. Former les producteurs membres d’IMBARAGA sur le marketing ; faciliter les producteurs membres d’IMBARAGA á signer les contrats avec les différents clients ; Former les groupes de fermiers et coopératives sur les techniques de traitement poste récolte; Former les groupes de fermiers et coopératives sur l’élaboration du business Former les membres des groupes de fermiers sur le conditionnement et conservation de la pomme de terre dans des conditions adéquates Former les membres des groupes de fermier sur les techniques de transformation de la pomme de terre en différents produits (chisps, midon, pomme de terre lavée, chapatti a base de soja et pomme de terre, baignée a base de pomme de terre, chips, …) 4.Défense d’intérêts: en utilisant l’approche PGPP; Organiser des réunions d’échange avec les membres de groupes de fermiers pour identifier leurs avis et doléances; Identifier des thèmes de lobby et plaidoyer; Mener des actions de lobby et plaidoyer; Résultats 1.Le paquet technologique agricole est vulgarisé et la production agricole est améliorée en quantité et en qualité. 2.Le nombre d’agro dealers (coopérative avec fonction ’approvisionnement d’intrants) ont augmenté en milieu rural ; Les agriculteurs obtiennent des bons services liés à l’utilisation des principaux intrants agricoles. 3.Les techniques de négociations sont connues et l’écoulement des produits est régulier. La commercialisation au niveau des coops et en en place et opérationnel; Système de conditionnement, de conservation et de transformation est mis en place et opérationnel. 4.Les avis et doléances des membres des groupes des fermiers et coopératives sont identifiés analysés et partagés (en utilisant l’approche PGPP) Les actions de lobby sont menées autours de différents thèmes taxe, règlementation dans la chaine de valeur, foncier) Les droits socioéconomiques sont applicables au niveau des groupes des fermiers et des coopératives membres : les paysans et leurs organisations ont accès aux investissements dans le domaine de l’agriculture. i. Les intérêts clés des producteurs agricoles sont défendus au niveau national ii. Les producteurs agricoles sont davantage informés sur les lois et politiques agricoles iii. Le mouvement paysan Congolais est bien gouverné