L'IRD recrute pour sa représentation au Bénin un(e) chargé(e) de communication.
Date limite de soumission : 17 février 2023
Le Centre africain des politiques foncières (ALPC), qui est une initiative conjointe de la Commission de l'Union africaine (CUA), de la Commission économique des Nations unies pour l'Afrique (CEA) et de la Banque africaine de développement (BAD), a été lancé en 2017 pour succéder à l'Initiative pour les politiques foncières (IPF) qui avait été lancée en 2006. L'ALPC a facilité et coordonné la mise en œuvre de l'Agenda de l'Union africaine (UA) sur les terres à travers la mise en œuvre de la Déclaration sur les questions et défis fonciers et le Cadre et lignes directrices sur la politique foncière en Afrique. L'ALPC continue de s'efforcer d'atteindre son objectif stratégique de développer et de populariser l'utilisation d'outils d'apprentissage et de gestion des connaissances afin de faciliter l'élaboration et la mise en œuvre de politiques foncières fondées sur des données probantes. La Conférence sur les politiques foncières en Afrique (CLPA) contribue à la réalisation de cet objectif en fournissant une plateforme appropriée pour le dialogue, l'apprentissage et le partage d'expériences.
Quelques jeunes de la République démocratique du Congo ont lancé des réflexions sur les vrais défis de la préservation de la biodiversité congolaise. Venus de différentes provinces de la RDC, ces jeunes ont voulu à travers cet exercice, marquer leur implication dans l’atteinte des objectifs du Cadre mondial de la biodiversité adopté à Montréal en 2022, lors de la COP15. La rencontre a eu lieu à Kinshasa, ce vendredi 26 mai 2023.
Le Système d’information de la FAO pour les données sur les situations d’urgence (DIEM) surveille l’incidence qu’ont les chocs sur les moyens de subsistance agricoles
Le Comité de pilotage du projet de mise en œuvre du Système intégré de gestion du foncier urbain (Sigfu) a tenu sa deuxième réunion, le 23 mars 2023.
Les pays de la région du Sahel en Afrique mettent en place une réponse massive pour faire face aux effets du changement climatique et de la perte de biodiversité : une "muraille" de forêts et de terres restaurées s'étendant sur plus de 8 000 km à travers le continent.
La transition écologique de nos agricultures reste largement à construire. Pour avancer dans cette direction, il faut conjuguer résilience écologique, création de valeur pour les agriculteurs et souveraineté alimentaire. C’est sur cette base que pourra être scellée, en France comme en Europe, une nouvelle alliance entre les forces de progrès du monde politique et des mondes agricoles. Concrètement, cela implique de créer les conditions économiques pour réorienter les calculs et les choix des agriculteurs, de l’industrie agroalimentaire, des coopératives, de la grande distribution et des consommateurs, afin de rendre viable une politique de l’offre agroécologique. Faire se rejoindre les intérêts des agriculteurs avec ceux de la société, de l’économie et de l’écologie est la clé de la réussite. C’est le sens des propositions portées ici par Pascal Canfin.
L'IRD recrute pour sa représentation au Bénin un(e) chargé(e) de communication.
Date limite de soumission : 17 février 2023
Pour la réussite du programme de développement durable, il faut des partenariats mondiaux solides et une bonne coopération entre les gouvernements, le secteur privé, la société civile et le milieu universitaire. Ce Prix vise à reconnaître et à récompenser les actions menées dans le cadre de partenariats dignes d’intérêt et efficaces qui font avancer le développement durable.
Celui que protègent les agriculteurs éthiopiens par des pratiques durables pour les sols
par Jean-Noël Menard, Ingénieur Général des Ponts, des eaux et des Forêts Hon, et ancien directeur de l’Agriculture et de la Forêt de la Guyane (1988-1992).
Les importations européennes sont responsables d'environ 16 % de la déforestation mondiale. Ce chiffre place l'Europe en deuxième position, derrière la Chine (WWF, 2021). Face à ce constat, l'Union européenne vient de poser les bases d'une loi interdisant l'importation de produits liés à la déforestation. Mais tout reste à faire quant à sa mise en œuvre. À condition de combler plusieurs lacunes en matière de connaissances et d'axes de recherche. Des experts du Standing Committee on Agricultural Research, dont le Cirad fait partie, identifient, dans le cadre d'un policy brief, ces lacunes et formulent plusieurs recommandations à l'intention des décideurs et des bailleurs de fonds.
Dans le cadre de la systématisation des documents pour le Tribunal, la Campagne nationale pour la défense du Cerrado a présenté une première analyse afin de faire face à cet effacement institutionnel (politique, économique et culturel), qui s’inscrit dans une politique de racisme structurel (environnemental et foncier) de l’État brésilien pour servir la colonisation passée et actuelle du Cerrado par le capitaliii. Sans valeur biologique et socioculturelle, le Cerrado peut être considéré comme un « no man’s land », ce qui légitime l’appropriation de grandes quantités de terres, transformées en monocultures de céréales, en pâturages et en zones d’exploitation minière, principalement à des fins d’exportation. En 2021, 77,2 % du soja produit dans le pays a été exporté. 30 millions d’hectares —l’équivalent du territoire de l’Italie— sont utilisés pour satisfaire la demande internationale en soja par le biais d’entreprises transnationales, en particulier pour la Chine et l’Union européenne —avec l’eau et les éléments nutritifs du sol que cela suppose—. Les territoires des peuples du Cerrado portent les stigmates des dégradations et des violences qui y ont eu lieu. Le 8 décembre 2022, l’Association de Fundos e Fechos de Pasto et la Campagne pour la défense du Cerrado ont dénoncé l’attaque systématique d’hommes armés au nom d’entreprises et de propriétaires terriens dans l’ouest de Bahia, contre 25 communautés de Correntina et Santa Vitória. C’est l’une des affaires jugées par le TPP.
Les pays membres de l'Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA), se préparent à se doter d’un système d’information foncière en zone urbaine. Et selon les informations, le Togo, suite à la réunion des Ministres chargés de l'urbanisme, de l’habitat et du foncier urbain dans la zone, tenue à Dakar fin novembre, va apporter son expertise à l’espace communautaire en ce sens.
Rome, le 2 juin 2021 – Le 28 mai 2021, le Président de la République du Mozambique, Filipe Jacinto Nyusi, a lancé un projet visant à réduire la pauvreté et à accroître la production et les revenus grâce à l’aquaculture au profit de plus de 88 000 petits producteurs piscicoles dans les zones rurales. Le projet a été inauguré à Chitima, dans la province de Tete.