This paper tries to show the advantages - both in productivity and consumer appeal - of domestic and global companies connecting with smallholder suppliers. It draws on programme experience and case studiesin the food and drinks sector where companies aimed to deliver value for their business in ways that would also benefit smallholder suppliers.

In Africa, agriculture is the most important sector in national economies. About 80 per cent of the active population works in agriculture. Further, apart from few exceptions, agriculture makes up more than 50 percent of gross national product. Nevertheless, Africa remains the only region in the world in which agricultural production declined between 1970 and 1980, when the growth rate was less than 2 per cent and moreover the gross national product (GNP) per head is one of the lowest in the world.

The ECA/FAO Joint Agriculture Division has been requested to collaborate with the Industry and Housing Division in the preparation of a study on "industrialization and Economic Co-operation for the North African sub-region” by providing the relevant part of the study concerning "The Agricultural Sector, 1963-1980".

This paper examines the role of the International Financial institutions in the formulation of African macro-economic policies with particular reference to efforts aimed at adjusting the agricultural sectors of African economies. The paper attempts to

assess the impact of Structural Adjustment Programs(SAP)on African agriculture and through an examination of the application of the programs in three African countries - Malawi,Tanzania and Zambia.

Les activites entreprises par le Groupe conseil en application de la deuxième partie de la même résolution qui demande inventorier les précédes technologiques de production de farines composées, doivent en principe etre achèvées, en 1982.

L'Afrique au sud du Sahara ou se situent les pays africains les moins avances a été décrite comme la seule grande région du monde ou le taux de croissance démographique continue à croître et ou la production alimentaire par habitant a baissé au cours des vingt-cinq dernières années. Il est tout a fait évident que les pays africains les moins avancés doivent faire face a un problème d'autosuffisance alimentaire. Les secteurs des exportations et de l'alimentation des pays africains les moins avancés ont cédé le pas a la crainte de l’avenir.

La présents communication a pour objet d'exposer et d'apprécier dans

leurs grandes lignes les politiques et mesures appliquées en Ouganda pour stabiliser les produits agricoles.

The mission was in accordance with Programme Element 20.48 of the approved United Nations Regular Programme for Technical Cooperation for the 1994-1995 Biennium which calls for the provision of advisory services and training to member countries and inter-governmental organizations in support of their efforts at developing their agricultural support services.

This document surveys the poor, performance and gloomy prospects for agriculture in Africa, which can be improved only if every country undertakes heavy investment to increase food production, storage, processing and distribution and 1mprove the over-all structure, institutions, research and training in the field of food and agriculture.

Le présent rapport a pour objectif d'examiner les résultats obtenus, de recenser les expériences novatrices et de fournir un cadre de discussion pour l'avenir. Cette politique s'expliquait par les choix politiques des dirigeants nationaux, le désir des gouvernements de pays nouvellement indépendants d'innover et d'agir rapidement, la nécessite d'apaiser les groupes de pression intérieurs, et, quelquefois, le manque de données fiables sur l'efficacité de ces systèmes au niveau de l'exploitation agricole.

Au cours des deux dernières décennies, l'Afrique a graduellement perdu les moyens qu'elle avait de nourrir sa population et de financer ses investissements dans le secteur agricole. Elle dépend de plus en plus des pays industrialisés pour la satisfaction des besoins. La question logique est par conséquent de savoir s'il existe un quelconque espoir pour les populations d'Afrique.

Il semble, d' après des estimations préliminaires, que la production agricole du continent africain qui avait augmente d’environ 7 pour 100 en 1962/63 (mais il s’agissait en grande partie d'un redressement, car elle avait baisse l'année précédente), se soit accrue de noms de un pour 100 en 1963/64. Pour la campagne 1964/65, les chiffres sont encore très limites, mais il semble probable qu'elle aura un peu diminue dans le nord-ouest de l’Afrique.