Les forêts communautaires ont été invoquées pour la première fois lors de la réforme de la loi de 1994 sur les forêts au Cameroun. Ceci dans le but de permettre aux communautés d’avoir un espace qu’elles pourraient gérer de manière participative et dans lequel elles pourraient mener des activités dans le cadre d’une convention signée avec l’Etat, à travers le ministère des forêts et de la faune (MINFOF).

Lisez le rapport ici

Le partage des bénéfices et les contrats communautaires visent à garantir aux communautés affectées le moyen d’être impliquées et de tirer des avantages de la gestion des ressources forestières. En pratique, toutefois, les communautés se sentent souvent lésées sur ces points.

Benefit-sharing agreements and community contracts are intended to ensure affected communities are involved in and benefit from the management of forest resources, but communities have often been left feeling short-changed.

This briefing note provides an overview of the functioning of community benefit sharing and community contracting in the Republic of Congo, Gabon, Ghana and Liberia, through ClientEarth’s experience. It also draws out key considerations on benefit sharing and community contracting mechanisms.

For the past decade, the land rush discourse has analyzed foreign investment in land and agriculture around the world, with Africa being a continent of particular focus due to the scale of acquisitions that have taken place. Gabon, a largely forested state in Central Africa, has been neglected in the land rush conversations, despite having over half of its land allocated to forestry, agriculture, and mining concessions. This paper draws on existing evidence and contributes new empirical data through expert interviews to fill this critical knowledge gap.

The articles in this Bulletin are written by the following organizations and individuals: National Coordinator for the Defense of the Mangrove Ecosystem (C-CONDEM), Ecuador; Yayasan Pusaka Bentala Rakya (Bentala Raya Heritage Foundation), Indonesia; Venezuelan Observatory of Political Ecology and members of the WRM international secretariat in close collaboration with several allies who are part of grassroots groups in different countries.

For the past decade, the land rush discourse has analyzed foreign investment in land and agriculture around the world, with Africa being a continent of particular focus due to the scale of acquisitions that have taken place. Gabon, a largely forested state in Central Africa, has been neglected in the land rush conversations, despite having over half of its land allocated to forestry, agriculture, and mining concessions. This paper draws on existing evidence and contributes new empirical data through expert interviews to fill this critical knowledge gap.

For the past decade, the land rush discourse has analyzed foreign investment in land and agriculture around the world, with Africa being a continent of particular focus due to the scale of acquisitions that have taken place. Gabon, a largely forested state in Central Africa, has been neglected in the land rush conversations, despite having over half of its land allocated to forestry, agriculture, and mining concessions. This paper draws on existing evidence and contributes new empirical data through expert interviews to fill this critical knowledge gap.

À rebours des autres régions du monde, l’Afrique pourrait devenir bientôt le continent de la déforestation, avec la République démocratique du Congo qui perd plus d’un million d’hectares de couvert arboré par an. En Afrique centrale, la déforestation est le fait d’une petite agriculture dont l’emprise géographique s’accroît avec la démographie et la volonté de se constituer des patrimoines fonciers.

La présente loi s'applique à l'ensemble des activités ou opérations minières, notamment à la prospection, à la recherche, à l'évaluation, au développement, à la construction des infrastructures minières, à l'exploitation, à l'extraction, au traitement, à la production, à la transformation, au stockage, à l'exportation, à l'importation, au transport, à la commercialisation des substances minérales et à la promotion des investissements y relatifs, à l'exception de celles relatives aux hydrocarbures liquides ou gazeux et aux eaux.

Il s’agit d’effectuer une analyse nationale approfondie sur l’état de la politique et de la gouvernance foncière dans le contexte de la Déclaration de Malabo pour soutenir le développement d’un PNIA au Gabon, en incluant une présentation de la situation actuelle, les éventuelles lacunes et des recommandations.

De manière spécifique, il s’agit de :

• Evaluer dans quelle mesure la gouvernance foncière est abordée dans le PNIA en cours et l'impact de ce PNIA sur la gouvernance foncière ;