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Community Organizations International Union for Conservation of Nature
International Union for Conservation of Nature
International Union for Conservation of Nature
Acronym
IUCN
Civil Society Organization

Location


IUCN is a membership Union uniquely composed of both government and civil society organisations. It provides public, private and non-governmental organisations with the knowledge and tools that enable human progress, economic development and nature conservation to take place together.


Created in 1948, IUCN is now the world’s largest and most diverse environmental network, harnessing the knowledge, resources and reach of more than 1,300 Member organisations and some 16,000 experts. It is a leading provider of conservation data, assessments and analysis. Its broad membership enables IUCN to fill the role of incubator and trusted repository of best practices, tools and international standards.


IUCN provides a neutral space in which diverse stakeholders including governments, NGOs, scientists, businesses, local communities, indigenous peoples organisations and others can work together to forge and implement solutions to environmental challenges and achieve sustainable development.


Working with many partners and supporters, IUCN implements a large and diverse portfolio of conservation projects worldwide. Combining the latest science with the traditional knowledge of local communities, these projects work to reverse habitat loss, restore ecosystems and improve people’s well-being.

Members:

Jackeline Siles

Resources

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Plaidoyer pour une augmentation des investissements agricoles

General

Addition 2015 (première semestre) Les actions en 2015 appuyé par Agriterra sont la poursuite des actions de plaidoyer pour la promotion et la défense des intérêts des producteurs agricoles avec un attention spécifiques sur le plaidoyer auprès du gouvernement national pour qu’il accorde une plus grande importance à l’agriculture (budget national, politique des filières porteuses, Projet National d’Investissement Agricole) et une augmentation de la sécurité foncière pour les producteurs familiaux. En 2014 CONAPAC a poursuit la mise en œuvre l’approche FACT dans les actions de plaidoyer. En 2015 les fédérations seront renforcer à l’outil FACT. La Confédération Nationale des Producteurs Agricoles du Congo en sigle « CONAPAC » est une organisation sans but lucratif des paysans producteurs agricoles constituée en date du 22 octobre 2011, conformément à la Loi n° 004/2001 du 21 juillet 2001, par plus de 300 paysannes et paysans et leurs organisations rassemblés à Kinshasa du 20 au 22 octobre 2011 au sein du 2e Carrefour Paysan. Apres deux années d´existence la CONAPAC est de plus en plus visible au niveau de l´arène Agricole comme voix des Paysans Congolais. Au cours des années précédents CONAPAC a renforcé son organisation (structuration) avec une capitation de ces leaders et un renforcement de son bureau d´appui. Pendant cette période Agriterra a appuyé CONAPAC avec des formations en leadership et en plaidoyer par l’approche FACT (Farmers’ Advocacy Consultation Tool). CONAPAC est composé de 11 Fédérations Provinciales. Chacune de ces 11 Fédérations Provinciales des producteurs membres de la CONAPAC dispose au moins 2 membres capables de conduire des actions de plaidoyer basé sur l’approche FACT. Les actions en 2014 appuyé par Agriterra sont surtout les actions de plaidoyer pour la promotion et la défense des intérêts des producteurs agricoles avec un attention spécifiques sur le plaidoyer auprès du gouvernement national pour qu’il accorde une plus grande importance à l’agriculture (budget national, politique des filières porteuses, Projet National d’Investissement Agricole) et une augmentation de la sécurité foncière pour les producteurs familiaux. Les premiers deux années CONAPAC a été accompagné par TRIAS (avec laquelle Agriterra a établi le contrat de financement) mais en 2014 un appui direct à CONAPAC sera fourni. Le projet 14cpc-6164 est une suite du projet 12iv-5908 plan 2015 Objectifs spécifiques (a)Mener des actions de plaidoyer pour la promotion et la défense des intérêts des producteurs agricoles (b)Plaider pour la majoration de l’allocation budgétaire de l’Etat en faveur des producteurs agricoles en général et des cultures prioritaires des Organisations Paysannes membres de la CONAPAC et pour l’intégration effective de la CONAPAC dans la gestion dudit budget. (c)Consolider la structuration du mouvement paysan, pour il soit un véritable interlocuteur des autres acteurs sociaux, économiques et politiques, `tous les niveaux de la société congolaise. Résultats attendus (a1) Les mesures d’application de la loi agricole ont été promulguées par l’autorité compétente et vulgarisées auprès des Organisations des Producteurs Agricoles à travers le pays (a.2) Les 11 Fédérations provinciales membres de la CONAPAC et leurs Unions des OPA font partie des commissions routières (FONER) de leurs entités suite au plaidoyer au niveau (a.3) Augmentation de la sécurité foncière pour les producteurs familiaux. (a.4) Un projet de loi spécifique portant sur l’organisation et le fonctionnement des Organisations Paysannes / des coopératives agricoles a été conçu et présenté aux instances législatives. (a.5) Au moins 4 Fédération provinciales des OPA disposent de 40 leaders formés en technique de plaidoyer (FACT) et leadership (LEAD4FO) (b.1) Le Gouvernement National accorde plus d’importance `l’agriculture (budget national, politique des filières porteuses, Projet National d’Investissement Agricoles (CAADP), banques agricoles). Augmentation annuelle (25 %) de la part allouée au secteur agricole dans le budget du Gouvernement National et des Gouvernements Provinciaux (55 million USD). (c.1) Les 11 féderations provinciales ont adapté leurs statuts à ceux de la CONAPAC et ont tenu leurs réunions statutaires avec la participation de la CONAPAC (c.2) La CONAPAC et les Fédérations provinciales ont amélioré leurs techniques de communication entre elles, avec leurs membres et avec les différentes partenaires. (c.3) La CONAPAC a mis en place un dispositif de communication fiable, y compris un site internet interactif. (c.4) Les leaders des Féderations de la CONAPAC ont une bonne information sur le fonctionnement, l’autonomisation financière et la professionnalisation des OP. (c.5) Une banque de données sur les OPA dans les différentes provinces est opérationnelle et mise à jour annuellement. (c.6) Les organisations de femmes agricultrices ont déterminé leur mécanisme de structuration et ont défini leur relation avec la CONAPAC Sommaire des activités (a.1) Médiatiser la Loi Agricole à travers les radio communautaires et la Voix du Paysan Congolais et les bulletins des Fédération agricoles. (a.2) Mener des actions de plaidoyer pour l’implication des OPS dans les commissions provinciales de FONER et appuyer les OPA dans l’élaboration (par l’approche FACT) dans l’élaboration de leurs dossiers de soumission. (a.3) Développer et mettre en œuvre un plan de plaidoyer cib lé sur les attentes des producteurs agricoles (membres des fédérations provinciales) (b.1) Mener annuellement une action de lobbying à l’intention du Premier Ministre pour une augmentation du budget agricole en utilisant l’approche FACT. (b.2) Mener des actions de plaidoyer au niveau national et provincial pour une planification optimal des campagnes agricoles, impliquant les OPA et une utilisation des fonds. (c.1) Organiser des missions d’appui – conseil ou d’accompagnement des activités des Fédérations et des échanges entre les fédération provinciales (c.2) Organiser une formation en techniques de communication des agents et leader paysans en communication (c.3) Organisation un atelier de formation et d’échanges sur le plaidoyer et le montage des et les techniques de plaidoyer en FACT. plan 2014 Objectifs spécifiques (a)Mener des actions de plaidoyer pour la promotion et la défense des intérêts des producteurs agricoles (b)Plaider pour la majoration de l’allocation budgétaire de l’Etat en faveur des producteurs agricoles en général et des cultures prioritaires des Organisations Paysannes membres de la CONAPAC et pour l’intégration effective de la CONAPAC dans la gestion dudit budget. (c)Consolider la structuration du mouvement paysan, pour il soit un véritable interlocuteur des autres acteurs sociaux, économiques et politiques, `tous les niveaux de la société congolaise. Résultats attendus (a1) Les leaders des organisations des Producteurs Agricoles ont à leur disposition la loi agricole et ses mesures d’application promulguées et sont bien informés de leur contenu. (a.2) Les Organisations Paysannes participent aux commissions décentralisées du FONER (Fonds National d’Entretien des Routes) et aux appels d’offres pour les attributaires des routes. (a.3) Augmentation de la sécurité foncière pour les producteurs familiaux. (a.4) L’année internationale de l’Agriculture familiale (AIAF) a contribué à l’amélioration de la perception du rôle et de la place des petits producteurs agricoles dans le processus du développement du pays par eux-mêmes et par les autres acteurs de la société congolaise. (a.5) Un projet de loi spécifique portant sur l’organisation et le fonctionnement des Organisations Paysannes / des coopératives agricoles a été conçu et présenté aux instances législatives. (b.1) Le Gouvernement National accorde plus d’importance `l’agriculture (budget national, politique des filières porteuses, Projet National d’Investissement Agricoles (CAADP), banques agricoles). Augmentation annuelle (25 %) de la part allouée au secteur agricole dans le budget du Gouvernement National et des Gouvernements Provinciaux (55 million USD). (b.2) L’agriculture est un agenda électoral de premier rang lors des campagnes des premiers élections locales en 2014. (c.1) Toutes les provinces de la RDC dispose d’une fédération provinciale des producteurs agricoles opérationnelle. (c.2) La CONAPAC et les Fédérations provinciales ont amélioré leurs techniques de communication entre elles, avec leurs membres et avec les différentes partenaires. (c.3) La CONAPAC a mis en place un dispositif de communication fiable, y compris un site internet interactif. (c.4) Les leaders des Organisations Paysannes Agricoles ont amélioré leurs capacités en leadership (LEAD4FO) et en plaidoyer (FACT). (c.5) Les organisations de femmes agricultrices ont déterminé leur mécanisme de structuration et ont défini leur relation avec la CONAPAC Sommaire des activités (a.1) Médiatiser la Loi Agricole à travers les radio communautaires et la Voix du Paysan Congolais et les bulletins des Fédération agricoles. (a.2) Mener des actions de plaidoyer pour l’implication des OPS dans les commissions provinciales de FONER et appuyer les OPA dans l’élaboration (par l’approche FACT) dans l’élaboration de leurs dossiers de soumission. (a.3) Développer et mettre en œuvre un plan de plaidoyer cib lé sur les attentes des producteurs agricoles (membres des fédérations provinciales) (b.1) Mener annuellement une action de lobbying à l’intention du Premier Ministre pour une augmentation du budget agricole en utilisant l’approche FACT. (b.2) Mener des actions de plaidoyer au niveau national et provincial pour une planification optimal des campagnes agricoles, impliquant les OPA et une utilisation des fonds. (c.1) Organiser des missions d’appui – conseil ou d’accompagnement des activités des Fédérations et des échanges entre les fédération provinciales (c.2) Organiser une formation en techniques de communication des agents et leader paysans en communication (c.3) Organisation un atelier de formation et d’échanges sur le plaidoyer et le montage des et les techniques de plaidoyer en FACT. Pour l'année 2014 les deux principaux objectifs sont: - Mener des actions de plaidoyer pour la promotion et la défense des intérêts des producteurs agricoles; - Consolider la structuration du mouvement paysan, pour qu'il soit un véritable interlocuteur des autres acteurs sociaux, économiques et politiques, à tous les niveaux de la société congolaise.

Défense des intérêts économiques des femmes paysannes

General

Addition l’année 2015 (premier semestre) Depuis l’année 2013 les activités réalisées par la LOFEPACO avec l’appui financier de Agriterra sont plus tournées dans la défense des intérêts des femmes paysannes sous une approche FACT (Farmer’s Advocacy Consultations Tools). Pendant l’année 2014 LOFEPACO a mis l’accent sur la capacitation des dirigeantes et agents de la LOFEPACO sur l’approche FACT et son application sur un problème crucial des producteurs agricoles : celui de l’identification des problèmes spécifiques aux femmes face à la commercialisation des produits agricoles (taxes et barrières illégales) et à l’obtention des terres cultivables par les femmes paysannes. La sensibilisation sur l’idée de création de l’Académie Nationale Paysanne Congolaise auprès de différentes composantes de la société civile du pays et l’appui à la structuration des organisations paysannes de la province Orientale ont été également abordées bien le travail dans ces 2 dernières activités restent à renforcer. Pour cette année 2015 ; la LOFEPACO procède à la mise en œuvre des activités prévus dans la planification globale annuelle, activités élaborées conformément au nouveau plan stratégique .Les actions à mener cette année sont puisées dans le programme « Plaidoyer pour l’amélioration des conditions de commercialisation et d’évacuation des produits agricoles » L’année 2015 sera la dernière année d’appui technique et financier d’Agriterra. Addition 2014 Pour cette année un accent particulier est mis sur le plaidoyer sous le titre du projet : « appui au renforcement des capacités de la femme pour un accès durable au capital foncier » Les acquis des leaders formés seront capitalisées dans plusieurs activités de la ligue et particulièrement dans le plaidoyer à l’accès à la terre et à la suppression et taxes et barrières illégales. C’est ainsi que les producteurs agricoles leaders déjà formés feront l’objet d’un renforcement continu à travers les Cercles de Réflexion et d’action et particulièrement les leaders spécialisées en lobbying et plaidoyer seront capacités dans l’approche FACT. Dans le souci de pérenniser la formation et action des leaders paysans l’opérationnalisation de l’Académie Nationale des Femmes Paysannes au Congo qui va s’occuper de la formation des leaders et formatrices des femmes paysannes va commencer cette année 2014. Addition 2013 C’est sous une vision de consolidation des acquis (p.ex. évaluation de la formation des leaders paysannes) des activités de l’année 2012 que LOFEPACO entreprendra les activités pour l’année 2013. Ainsi plusieurs activités de l’année 2013 sont reprises dans la planification mais avec une nouvelle orientation. Avant la séance de planification par l’équipe technique de la Lofepaco les dirigeantes à l’issue de leur réunion ordinaire du conseil d’administration du mois de Décembre ont dégagé les grandes lignes de la planification. La présidente et le staff (coordinatrice et chargé du programme) ont bénéficier de la formation FACT (Farmers Advocacy Consultation Tool) et ont intégrer les acquis de cette formation au niveau de leur organisation avec comme but de renforcer leur rôle dans la défense d’intérêts des femmes paysannes. Les principes de FACT ont été également intégrer dans les formation au niveau des leaders paysannes. Pour cette année LOFEPACO va utiliser cette approche dans les domaines de la gestion foncière (accès à la terre pour les femmes paysannes) et au niveau de la diminution des taxes sur la commercialisation des produits agricoles des rizicultrices. Lofepaco veut egalement partager leur expiences dans les domaines de formation en leadership paysanne et plaidoyer avec des autres oragnisations paysannes provinciales au RDC en soulignant l'omportance des femme paysannes et ses organisations dans la production agricole, la transformation et commercialisation des produits agricoles. Addition 2012 le plan annuel est une poursuite du plan 2011 du projet « FEMMES PAYSANNES PLUS PROFESSIONNELLES AVEC UN POUVOIR ECONOMIQUE ET SOCIAL ELEVE » et qui se penchait sur le déclanchement des voies pour les activités économiques et plaidoyer des femmes paysannes. LOFEPACO continuera la formation des leaders paysannes (300 femmes) mais, selon les recommandations d'une mission d'évaluation, avec des modules plus adaptés aux besoins specific des membres. Lofepaco donnera également une appui au mouvement paysanne nationale (dans les provinces Maniema et Oriental) avec des échanges de leur experience spécifique sur leaders paysan feminine et le playdoyer spécifiquement pour la position des femmes (accès à la terre etc.) 2011 Le travail de LOFEPACO se situe dans la recherche de l’équilibre homme- femme pour que tous ensemble participent activement au développement et cela d’une façon équitable. Pour parvenir logiquement à cet équilibre, elle poursuit sa vision en travaillant plus sur la femme qui est longtemps restée en arrière par rapport à l’homme. Ainsi chaque année, cette structure procède à la planification de ses activités pour ne pas cheminer dans le hasard ou l’improvisation. Le plan actuel que nous présentons est basé sur une planification stratégique quinquennale qui va de 2010 à 2011. Ce plan a relevé l’image actuelle de la femme paysanne qui n’est pas encore totalement amélioré et montre encore une situation de pauvreté et vulnérabilité des plusieurs femmes paysannes. Dans la planification stratégique nous avons défini le profil et l’image de la femme paysanne dans les 5 années à venir et notre intervention pour cette année 2011 va plus particulièrement se pencher sur les aspects économiques tout en renforçant le pouvoir économique et social de la femme notamment dans le domaine de la production et de la formation. Pour ce qui est de la production nous allons accompagner les femmes paysannes dans l’élaboration des plans d’affaires de leurs activités économiques. Les activités comme le suivi des CERA et du remboursement du crédit de la caisse d’épargne de la femme paysanne ainsi que la recherche sur leadership féminin seront aussi effectuées. 1e semestre 2015 Objectif global Contribuer à l’amélioration des conditions et environnement de travail des producteurs agricoles par une influence positive sur le contexte fiscal ; social et infrastructurel du déroulement de leurs activités économiques en vue de maximiser leur revenu. Objectifs spécifiques du projet : (a)Faire une recherche participative sur les taxes et barrières illégales érigées sur les routes de dessertes agricoles (b)Elaborer et présenter des notes de plaidoyer sur les taxes et barrières illégales au niveau des entités décentralisées de la province du Nord Kivu (c)Faire participer la population locale à la sensibilisation des autorités sur l’entretien des routes de dessertes agricoles pour faciliter l’évacuation des produits agricoles. (d)Accompagner les membres des CERA pour faire le monitoring et plan d’action des activités de plaidoyer (e)Organiser la réunion de la synergie entre les organisations des femmes paysannes pour l’intérêt d’une cohésion Nationale dans les actions de plaidoyer. Les résultats attendus (a)Les femmes paysans, leaders et staff de la LOFEPACO maitrisent les étapes du processus FACT (b)Les plans de plaidoyer sont élaborés dans les domaine : - la suppression des taxation et les barrières illégales ; - de la gestion foncière (plus 50 contrats foncier intermédiaires) ; - le financement agricole par les Ministères National et Provinciales avec l’implication de la LOFEPACO dans la gestion des fonds Sommaire des activités (a) Formation sur les techniques de plaidoyer par l’approche FACT (20 leaders et 5 staff). (b) Identification des problèmes spécifiques aux femmes face à la commercialisation des produits agricoles. (taxes et barrières illégales) et à l’obtention des terres cultivables par les femmes paysannes. (c) Organisation des ateliers pour la recherche participative et l’élaboration des propositions. (d) Négociation avec le gouvernement locale. (e) Réseautage avec autre organisations du secteur privé et public. Objectif global du projet Accompagner les femmes paysannes à renforcer leurs capacités pour participer activement au plaidoyer pour une amélioration du contexte politique ; fiscal et social du déroulement de leurs activités économiques en vue de maximiser leur revenu. Objectifs spécifiques du projet (a) Réaliser une lobby et plaidoyer effective dans les domaines d’accès à la terre, les taxes et barrières illégales et le financement agricoles (b) Accompagner les femmes leaders dans le renforcement de capacité d’action en plaidoyer. (c) Partager les expériences de leadership féminine et plaidoyer avec les autres femmes des autres provinces. (d) Coordonner la synergie Nationale des femmes paysannes pour l’intérêt d’une cohésion Nationales dans les actions consolidées de plaidoyer. Les résultats attendus (a)Les femmes paysans leaders et staff de la LOFEPACO maitrisent les étapes du processus FACT (b)Les plans de plaidoyer sont élaborés dans les domaine : - de la gestion foncière (plus 50 contrats foncier intermediairs). - la suppression des taxation et les barrières illégales. - le financement agricole par les Ministères National et Provinciales avec l’implication de la LOFEPACO dans la gestion des fonds (sur la chaine du valeur riz avec un montant prévu du 500.000 USD). Sommaire des activités (a) Formation sur les techniques de plaidoyer par l’approche FACT (20 leaders et 5 staff). (b) Identification des problèmes spécifiques aux femmes face à la commercialisation des produits agricoles. (taxes et barrières illégales) et à l’obtention des terres cultivables par les femmes paysannes. (c) Organisation des ateliers pour la recherche participative et l’élaboration des propositions. (d) Négociation avec le gouvernement locale. (e) Réseautage avec autre organisations du secteur privé et public. Addition 2013 Objectif global du projet : Orienter les activités des femmes paysannes vers l’auto prise en charge économique • Renforcer le fonctionnement organisationnel et institutionnel des organisations membres de la Lofepaco ; • Renforcer les capacités des femmes paysannes en leadership par les méthodes andragogiques appropriées et aux analphabètes ; • Accompagner les femmes paysannes dans la recherche des marché rémunérateurs ; • Contribuer à la structuration du mouvement paysan à la base par le suivi régulier des CERA (Cercle de Réflexion et Action) pour la promotion des femmes leaders ; • Renforcer les capacités du staff sur les techniques de recherche et la diffusion des informations entrepreneuriales et la capitalisation des résultats ; • Faire le lobbying et plaidoyer sur la défense des droits de la femme (gestion foncière et économique). Les trois domaines de l’intervention: - La sécurité alimentaire : pour capitaliser ce domaine en cette année, la Lofepaco se focalise dans la professionnalisation agricole et l’analyse des activités économiques rentables des femmes paysannes par renforcement des femmes paysannes en calcul de rentabilité de leurs activités - La formation et information ; qui constitue le moteur d’amélioration et de renforcement, La LOFEPACO veut capitaliser ce domaine pour l’externalisation et la diffusion des innovations et changements dans la vie des femmes paysannes. - La défense des droits de la femme paysanne : dans ce domaine la Lofepaco cherche à renforcé les relations entre paysans et paysannes pour valoriser le métier agricole et faire entendre leurs voix. La Lofepaco a déjà lancé des trajets de plaidoyer focaliser sur l'accès au terre par des femmes. Le groupe cible sont les femmes paysannes de 18 organisations paysannes au Nord Kivu. En plus LOFEPACO appuiera des réseau émergeantes au niveau du Sud Kivu, Maniema, Kisangani par des visites des échanges (sharing knowledge). Les activités : - Formation des femmes leaders en leadership féminin (leadership économiques, organisationnels et lobbyistes) 9e promotion - Redynamisation des CERA (Cercle de Réflexion et d’Action); - Organisation une réunion interprovincial sur l’émergence du leadership féminin au Congo; - formation de formatrices en méthodologie des analphabètes en leadership; - Accompagnement des femmes entrepreneuses dans l’élaboration des plans d’affaires ; - Suivi du plaidoyer pour l’allégement et la réduction des procédures d’acquisition des titres de propriété en faveur des paysannes (consultation, recherche participative, et structuration des éléments convaincantes dans une note de plaidoyer pour rappel aux autorités politico administratives - Présentation de la proposition aux autorités provinciales. Activités spécifiques de lobbying et plaidoyer - Organiser une réunion interprovinciale sur l'emergence du leadership féminin au Congo - Faciliter la négociation pour obtention des concessions de terre à prendre à location par les femmes paysannes - Plaidoyer sur la dimunition des taxes sur la comercialisation des produits agricoles des rizicultrices du territoire de Beni. Résultats attendus - 330 femmes leaders formés; - accompagnement des cercles de réflexions; - 20 formatrices formés; - 70 femmes entrepreneuses accompagnées; - Mise en relations des entrepreneurs femmes avec PAM et la Brasserie Bralima (production riz) - meilleur accès à la terre (acquisition des titres de propriété de terre chez les femmes paysannes). - constituer une base des données fiables sur la problematique de la multiplicité des taxes - une diminution des frais de taxation est accordée aux riziculteurs par l'autorité de tutelle Spécifique dans le domaine de plaidoyer Dimunition des taxes - 46 personnes dans le processus FACT - Indirect resultats : 500 femmes Acces à la terre - 50 personnes dans le processus FACT - Indirect resultats: 500 femmes Addition 2012 Objectif global du projet : Orienter les activités des femmes paysannes vers l’auto prise en charge économique Objectifs spécifiques du projet : • Renforcer le fonctionnement organisationnel et institutionnel des organisations membres de la LOFEPACO • Renforcer les capacités des femmes paysannes en leadership par les méthodes andragogiques appropriées aux analphabètes • Accompagner les femmes paysannes dans la recherche des marchés rémunérateurs • Contribuer à la structuration du mouvement paysan à la base par le suivi régulier des CERA pour la promotion des femmes leaders • Renforcer les capacités du staff sur les techniques de recherche et de la diffusion des informations entrepreneuriales • Faire le Lobbying et plaidoyer sur la défense des droits de la femme   Les points strategiques du projet La Lofepaco intervient dans trois domaines à savoir : • la sécurité alimentaire : pour capitaliser ce domaine en cette année, la Lofepaco se focalise dans la professionnalisation agricole et l’analyse des activités économiquement rentables des femmes paysannes par l’élaboration des plans d’affaire pour qu’elles deviennent des bonnes entrepreneuses. • la formation et information : qui constituent le moteur d’amélioration et de renforcement, la Lofepaco veut capitaliser ce domaine pour la l’externalisation des innovations et des changements dans la vie des femmes paysannes. La Lofepaco continuera avec le program de leadership des femmes paysannes. Suite à des conclusions et recommendations de la mission d'évaluation (Mai 2012) le programme sera amélio'ré d'avantage avec une spécialisation des leaderships dans les différents domaines e.a le lobby et plaidoyer. • la défense des droits de la femme paysanne : dans ce domaine, la Lofepaco cherche à renforcer les relations entre les paysans et paysannes pour valoriser le métier agricole et faire entendre leurs voix. La Lofepaco a déjà lancé des trajets de plaidoyer focaliser sur l'accès au terre par des femmes. La Lofepaco est egalement disposé à appuyer des autres reseaux des femmes paysannes des provinces du Province Orientales et Maniema, ceci dans le cadre du mouvement paysan (CONAPAC). dans le plan 3 echanges ont été prévu. Les groupe cibles sont les femmes des 18 organisationnes paysannes au Nord Kivu Les activités: - evaluation de la formation des leaders au sein de la Lofepaco (mai 2012) - réflexion sur les recommandation de l'évaluation et sur le réaménagement du programme - la formation des femmes leaders 8eme promotion - formation de formatrices en méthodologie des analphabètes en leadership - renforcement de cercle de reflection et d'action - accompagnement des femmes dans leurs activités entrepreneuriales - compagner les productrices de la filière fruit dans la recherche du marché - echange d'expérience avec les autres membres des OP - lobby et plaidoyer pour l'all'gement et la réduction des procedures d'acquisition des titres des proriété de terre chez les femmes paysannes - participer à la structuration du mouvement paysan auprès des OP feminines dans les autres provinces du Maniema et la province orientale - Collecte et diffusion des informations sur les activités des femmes paysannes Résultats attendus - 300 femmes leaders formés; - accompagnement des cercles de reflexions; - 15 formatrices formés; - des modules adaptés selon les recommandations de la mission d'évaluation; - 70 femmes entrepreneuses acompagnées; - la structuration de la filière fruit (accompagnement des 120 vendueses et 10 producteurs des fruits (vente collectives etc.); - meilleur acces à la terre (aquisition des titres de propriété de terre chez les femmes paysannes). Projet “ femmes Paysannes plus professionnelles avec un pouvoir économique et social élevé” Le travail de LOFEPACO se situe dans la recherche de l’équilibre homme- femme pour que tous ensembles participent activement au développement et cela d’une façon équitable. Pour parvenir logiquement à cet équilibre, elle poursuit sa vision en travaillant plus sur la femme qui est longtemps restée en arrière par rapport à l’homme. Ainsi chaque année, cette structure procède à la planification de ses activités pour ne pas cheminer dans le hasard ou l’improvisation. Le plan actuel que nous présentons est basé sur une planification stratégique quinquennale qui va de 2010 à 2014. Ce plan a relevé l’image actuelle de la femme paysanne qui n’est pas encore totalement amélioré et montre encore une situation de pauvreté et vulnérabilité des plusieurs femmes paysannes. Dans la planification stratégique nous avons défini le profil et l’image de la femme paysanne dans les 5 années à venir et notre intervention pour cette année 2011 va plus particulièrement se pencher sur les aspects économiques tout en renforçant le pouvoir économique et social de la femme notamment dans le domaine de la production et de la formation. Pour ce qui est de la production nous allons accompagner les femmes paysannes dans l’élaboration des plans d’affaires de leurs activités économiques. Les activités comme le suivi des CERA et du remboursement du crédit de la caisse d’épargne de la femme paysanne ainsi que la recherche sur leadership féminin seront aussi effectuées. Objectifs du projet :  Elever le niveau socio- économique de la femme paysanne par la hausse de son revenu et par la valorisation de son métier agricole.  Rendre les activités agricoles de la femme paysannes plus professionnelles  Initier les femmes à les maitriser les charges et les produits par le calcul de rentabilité  Effectuer une recherche sur le leadership féminin après 6 ans de formation Activités - Formation des femmes leaders de la 7e promotion - Suivi des CERA - Echanges d’expérience entre les femmes - Recherche sur le leadership et documentation des actions femmes leaders - Formation sur le calcul de rentabilité et cout de production - Elaboration des plans d’affaires des unités d’autofinancement de la Lofepaco - Sensibilisation sur l’offre groupée - organiser la chaine de valeur de la filière fruits à transformer - Lobbying et plaidoyer sur l’accès aux titres de propriétés et sur la réduction des taxes Objectif global du projet : Orienter les activités des femmes paysannes vers l’auto prise en charge économique Objectifs spécifiques du projet : • Renforcer le fonctionnement organisationnel et institutionnel des organisations membres de la LOFEPACO • Renforcer les capacités des femmes paysannes en leadership par les méthodes andragogiques appropriées aux analphabètes • Accompagner les femmes paysannes dans la recherche des marchés rémunérateurs • Contribuer à la structuration du mouvement paysan à la base par le suivi régulier des CERA pour la promotion des femmes leaders • Renforcer les capacités du staff sur les techniques de recherche et de la diffusion des informations entrepreneuriales • Faire le Lobbying et plaidoyer sur la défense des droits de la femme  . Accompagner les femmes paysannes à renforcer leurs capacités pour participer activement au plaidoyer pour une amélioration du contexte politique ; fiscal et social du déroulement de leurs activités économiques en vue de maximiser leur revenu.. 1e semestre 2015 Contribuer à l’amélioration des conditions et environnement de travail des producteurs agricoles par une influence positive sur le contexte fiscal ; social et infrastructurel du déroulement de leurs activités économiques en vue de maximiser leur revenu.

Lantmäteriet Fact Finding Mission to Liberia

General

The contribution is a support to Lantmäteriet to undertake a fact finding mission in Liberia with Liberia Land Authority and key stakeholders in the land sector with the aim to develop a project proposal for long-term technical cooperation and capacity building between the Liberia Land Authority and Lantmäteriet. The main development challenge to be addressed by this contribution is severe weak capacity and weakness in wide range of systems and services relating to the land sector resulting among other things to high risks of conflict related to land. Unresolved situations of capacity weaknesses in the land sector has potential to undermine Liberia's peace and stability, economic development and the poverty reduction efforts. Liberia Land Authority is a new insitution of the Liberia established with the mandate to implement effective land management. The Embassy sees a twinning cooperation between the Liberia Land Authority and Lantmäteriet as an important step to formalise long-term institutional cooperation wherein Liberia can benefit from the technical expertise and experiences of Lantmäteriet as it takes steps to resolve the myriad challenges in the land sector.

Local Democratic Governance Phase IV

General

The Local Democratic Governance (LDG) program is a program manged by a consortium of four International Non-Governmental Organizations (INGOs) working together since 2005. This consortium includes NCA (Norwegian Church Aid-from Norway), Helvetas Swiss Intercooperation (from Switzerland), SNV (from Netherlands) and Diakonia (from Sweden). The program is led by Diakonia who will be accountable to the Embassy for program’s performance, risk and financial management. This phase has been accepted after several consultations regarding the aim of the program, its link with the 2016-2020 Swedish cooperation strategy with Mali and its operationalization as well as the duration of the Sida support to the Programme for twelve years. The two parties concluded to move towards a responsible phasing out during a final fourth phase of the program. This will be done through the set-up of a three-year program from 2018-2020. This last phase will enable to consolidate and capitalize on results, knowledge and experience acquired during previous phases of the program from 2005 to 2017. The intervention is designed to tackle issues on land and natural resources governance. This will be done by 1) Strengthening local land management arrangements as well as citizen control of natural resources management; 2) Improving performance of local government authorities in natural resources management and 3) Improving inclusive management of natural resources by local stakeholders. For tackling these issues, land commissions and other local arrangements will manage inclusively conflict related to natural resources, the intervention will feed the permanent secretariat of agricultural orientation law with support tools for setting-up and opertionalization of land commissions and CSOs will engage advocacy at the level of national and local policies. In addition, the municipalities will delegate the management of  collective infrastructures previously realized by the program to socio-professional organizations  and local actors. The total budget is 35 MSEK and ist is totally funded by Sida. Out of this budget, 1 MSEK will be borne by Sida for the purpose of external final evaluation

Objectives

Implemented since 2005 by four INGOs, the exit phase of the LDG program aims at contributing to equitable, peaceful and sustainable exploitation of natural resources between communities. The program intends to consolidate the results achieved so far and to transfer tools and approaches previously developed to appropriate authorities and share good practices. This will be done through 1) Strengthening local land management arrangements as well as citizens' control of natural resources management, 2) Improving the performance of local government authorities in natural resources management and 3) Improving inclusive management of natural resources by local stakeholders.  The desired changes are threefold: 1) pacific access to natural resources and ensuring citizens' control over the management of natural resources,  capacity of local government authorities and socio-professional organizations respectively in the management of natural resources and in the delegated management of natural resources strengthened and local stakeholders (local government authorities, socio-professional organizations, small-scale farms) are equipped with tools and approaches for sustainable management of natural resources (provision of family-farm advisory tools. 

Scaling up Cocoa-based Food Systems, Land Use and Restoration / Transformative Innovations in Côte d’Ivoire

Objectives

To promote deforestation-free cocoa value chains and restore degraded cocoa-forest landscapes in Côte d’Ivoire.

Other

Note: Disbursement data provided is cumulative and covers disbursement made by the project Agency.

Target Groups

The baseline economic and socio-economic situation in these landscapes and regions is described in Annex K. Within these landscapes, the project will benefit members of the rural populations who are engaged in cocoa production and/or marketing, and / or who own, or farm on, degraded lands where cocoa has previously been grown. The number of direct project beneficiaries, as a co-benefit of the GEF investment and disaggregated by gender, is estimated at 114,565 men and 93,735 wom[S(1][VT(2]en, which is equivalent to approximately 50% of the above total. Categories of direct beneficiaries and types of corresponding benefits have been identified as follows:· Farming households receiving agro-forestry/forestry inputs: The project will support the restoration of 25,000 ha of land. Assuming an average land-holding of 5ha / farmer, approximately 5,000 farming households are expected to benefit directly from provision of inputs including seedlings, equipment and fertilizers, as well as training in tree planting and other aspects of sustainable land management. The average of farming households size being eight persons, SCOLUR will then directly impact on the livelihood of 40,000 beneficiaries.· Land users benefitting from Integrated Landscape Management Plans: Beyond those farmers identified above, other farmers and land users within the three target landscapes will benefit from implementation of land use management plans (on 514,899 ha) being developed under Component 1. Benefits are expected to include: reduced deforestation and degradation linked to sustainable intensification of cocoa lands; strengthened agro-forestry-based land restoration processes, including development of ancillary supply chain links; increased availability of financial intermediation. In addition to these benefits, farmers and farm laborers will benefit from the project’s support for decent rural employment, which will be integrated directly across all project components (see Table 7 below). These beneficiaries are estimated to number 163,300. · Supply chain participants: A range of economic actors associated with the cocoa supply chain and the emerging agro-forestry supply chain, will see increase business opportunities as a result of the project. Moves towards landscape-level certification will further diffuse benefits. Estimated beneficiaries in this category total 5000. Within each of the above categories of beneficiaries, the project will aim to maximize its impact on vulnerable groups, including women and youth. Specific actions meant to ensure the achievement of this objective under each project component for women are listed in Annex J, while the project’s approach towards issues of child and youth labor is outlined in the risk section above and in the dedicated Child Labour Risk mitigation plan attached in Section 5 (Risks) of this prodoc and in the roadmap section of the GEF portal. Table 7: Project’s support for decent rural employment[1] DRE pillar DRE checklist item Components contributing C - 1 C - 2 C-3 C - 4 Pillar 1: Employment creation and enterprise development DRE addressed explicitly in agriculture and rural development policies, strategies and programmes Women and men small-scale producers supported in accessing markets and modern value chains Agribusiness and marketing micro, small and medium enterprises supported in accessing markets, training, financial services and other productive assets (e.g. land) Vocational and educational training programmes on technical and business skills for rural people supported Pillar 2: Social protection Mechanisms to extend social protection to small producers and informal workers supported, involving producer organizations and communities/ households Working conditions improved in rural areas, including effective maternity protection and living wages in agriculture Pillar 3: Standards and rights at work Socially responsible agricultural production supported, specifically to reduce gender and age-based discrimination Compliance with national labour legislation promoted in the rural areas Pillar 4: Governance and social dialogue Countries supported in strengthening democratic organizations and networks of producers and workers, particularly in the informal rural food economy Representation of the rural poor in social dialogue and policy dialogue through their organizations supported Participation of rural poor in local decision-making and governance mechanisms supported Rural women and youth groups empowered to be involved in these processes from the initial steps Synergies built between organizations, programmes, countries and producer-to-producer learning opportunities created [1] See FAO guidelines for addressing decent rural employment