Du groupe à l’individu
Au sud-ouest du Burkina Faso, les pressions sur les terres sont de plus en plus fortes, surtout en pays gouin dans le département de Niangoloko. En effet, la croissance de la population consécutive à l’afflux des migrants venant des autres régions du pays et de la Côte d’Ivoire fait progresser rapidement les taux d’occupation de l’espace, compromettant ainsi la « générosité » des autochtones.